Un instrument a été inventé spécialement pour cette symphonie!
Vers la fin du dernier mouvement, vous entendrez un marteau de 10 kilos frapper deux notes sur une boîte en bois massif pour signifier les coups du destin. Jamais deux sans trois, un ultime coup figurait même dans la version originale, car le héros de la symphonie devait tomber «comme un arbre». Cependant, Gustav Mahler pris peur et le raya purement et simplement de la partition! Superstitieux? Peut-être. Le 12.12., à l'Arsenal Jean-Marie Rausch de Metz, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg s’attaquera à cette œuvre monumentale et d’une grande complexité émotionnelle. Ne les manquez pas et ouvrez grand les yeux pour admirer le «marteau de Mahler» en action!