«Il y a eu et il y aura toujours des milliers de princes mais il n’y a qu’un seul Beethoven!»
Ainsi s’exprimait le grand homme lui-même dont la réputation allait de l’égoïste mal luné au romantique désespéré. Beethoven était en pleine période «héroïque» quand il écrivit sa Quatrième Symphonie et son Quatrième Concerto pour piano. Sa perte progressive de l’ouïe et ses épisodes dépressifs ne l’empêchèrent pas de concevoir des œuvres symphoniques joyeuses qui seront ici données aux côtés d’une nouvelle pièce de la pianiste et compositrice Tatsiana Zelianko.